POESIE de Anita : Eloges pour la NATURE n°1
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POESIE de Anita : Eloges pour la NATURE n°1
Sujet: Eloges pour la Nature n°1
Pour compléter ma localisation ,
en Sarthe :
Emprunter un chemin ,
quittant ainsi la route
qui menait vers ce que l'on appelle
la civilisation .
Emprunter un chemin ,
sur lequel il fait du bien de marcher .
Marcher et respirer les essences des arbres .
Marcher et respirer
les parfums des fruits et des fleurs sauvages .
Par jeux , par plaisirs ,
chercher à les reconnaître .
Par ici ou par là ,
vous êtes toujours le premier à y passer ,
par ce que sur vôtre passage ,
vous cassez les fils
que les araignées avaient tissées pour attraper leurs proies .
Mais pour vous , qu'est ce qu'un fil ?
Marcher et regarder tout autour de vous ,
partout , comme dans un bain de lumière ,
vous pénétrez dans un espace particulier ,
d'une exceptionnelle harmonie ,
où les couleurs ravissent vos yeux , vôtre cœur , et vôtre âme .
Pas une seule faute de goût , le peintre divin y met tout son art .
Il utilise les infinies dégradés allant du vert foncé au vert tendre ,
du marron à fauve , jusqu'au jaune d'or à paille ,
ainsi que toutes les nuances de bordeaux
sombres aux rouges transparents lumineux .
Si vous regardez bien ,
vous trouverez des champignons , des châtaignes ,
quelle joie pour un futur repas ,
mais la nourriture gratuite s'amenuise !
Quand l'homme s'arrêtera t'il de détruire ?
Qu'elle tristesse ces tas de bois ,
sur vôtre chemin ,
pourtant , vous comme moi ,
comme d'autres amoureux de la nature ,
nous avons besoins des bois pour tout ce qu'ils nous apportent ,
afin de nous y promener , c'est bien au-delà du bien être évident .
Nôtre santé en dépend , mais c'est bien au-delà encore !
Moi , je préfèrerais surprendre un animal ,
si nombreux auparavant , tel un cerf ou une biche ,
ou bien d'autres , dont certains vivent la nuit .
Surprendre un animal
et qu'il viendrait vers moi !
Ferait ma surprise et ma joie ,
comme par une synchronicité minutieusement préparée ,
comme d'un rendez-vous divinement orchestré .
Il n'aurait pas dans son regard , la peur du dernier instant !
ni les fortes pulsations de son cœur dans sa poitrine ,
puisque je n'aurais pas d'arme !
Quelle pitié de les voir s'affoler , alors qu'ils sont chez eux !
Nous entrons dans leurs intimités , ils la vivent là , où vous êtes !
Nous violons tous les droits vis à vis d'eux !
Mais que dis je ?
Ce n'est pas possible ! des animaux , des plantes , des insectes !
Mais à qui d'autres ? Vous n'y avez pas pensez ?
Qui peuvent être en droits , leurs territoires se réduisant sans cesses ?
Pourtant le recul y est facile pour réfléchir et méditer , pas d'époque ,
pas d'âge , afin de s'y ressourcer , rien ne sonne faux ,
tout y est naturel , simple et véritable ,
le respect et ses lois !
pour se retrouver face à soi même tout simplement !
Rien de comparable à la ville ! où tout y est si différent , artificiel !
( La suite , à venir )
Pour compléter ma localisation ,
en Sarthe :
Emprunter un chemin ,
quittant ainsi la route
qui menait vers ce que l'on appelle
la civilisation .
Emprunter un chemin ,
sur lequel il fait du bien de marcher .
Marcher et respirer les essences des arbres .
Marcher et respirer
les parfums des fruits et des fleurs sauvages .
Par jeux , par plaisirs ,
chercher à les reconnaître .
Par ici ou par là ,
vous êtes toujours le premier à y passer ,
par ce que sur vôtre passage ,
vous cassez les fils
que les araignées avaient tissées pour attraper leurs proies .
Mais pour vous , qu'est ce qu'un fil ?
Marcher et regarder tout autour de vous ,
partout , comme dans un bain de lumière ,
vous pénétrez dans un espace particulier ,
d'une exceptionnelle harmonie ,
où les couleurs ravissent vos yeux , vôtre cœur , et vôtre âme .
Pas une seule faute de goût , le peintre divin y met tout son art .
Il utilise les infinies dégradés allant du vert foncé au vert tendre ,
du marron à fauve , jusqu'au jaune d'or à paille ,
ainsi que toutes les nuances de bordeaux
sombres aux rouges transparents lumineux .
Si vous regardez bien ,
vous trouverez des champignons , des châtaignes ,
quelle joie pour un futur repas ,
mais la nourriture gratuite s'amenuise !
Quand l'homme s'arrêtera t'il de détruire ?
Qu'elle tristesse ces tas de bois ,
sur vôtre chemin ,
pourtant , vous comme moi ,
comme d'autres amoureux de la nature ,
nous avons besoins des bois pour tout ce qu'ils nous apportent ,
afin de nous y promener , c'est bien au-delà du bien être évident .
Nôtre santé en dépend , mais c'est bien au-delà encore !
Moi , je préfèrerais surprendre un animal ,
si nombreux auparavant , tel un cerf ou une biche ,
ou bien d'autres , dont certains vivent la nuit .
Surprendre un animal
et qu'il viendrait vers moi !
Ferait ma surprise et ma joie ,
comme par une synchronicité minutieusement préparée ,
comme d'un rendez-vous divinement orchestré .
Il n'aurait pas dans son regard , la peur du dernier instant !
ni les fortes pulsations de son cœur dans sa poitrine ,
puisque je n'aurais pas d'arme !
Quelle pitié de les voir s'affoler , alors qu'ils sont chez eux !
Nous entrons dans leurs intimités , ils la vivent là , où vous êtes !
Nous violons tous les droits vis à vis d'eux !
Mais que dis je ?
Ce n'est pas possible ! des animaux , des plantes , des insectes !
Mais à qui d'autres ? Vous n'y avez pas pensez ?
Qui peuvent être en droits , leurs territoires se réduisant sans cesses ?
Pourtant le recul y est facile pour réfléchir et méditer , pas d'époque ,
pas d'âge , afin de s'y ressourcer , rien ne sonne faux ,
tout y est naturel , simple et véritable ,
le respect et ses lois !
pour se retrouver face à soi même tout simplement !
Rien de comparable à la ville ! où tout y est si différent , artificiel !
( La suite , à venir )
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